ET LA MER RETENAIT SON SOUFFLE.

LE CORPS, LA LUMIèRE, LA PIERRE…

Sur l’île de San Servolo, le temps semble s’être retiré pour laisser place à la lumière.
La lagune respire lentement, et dans cette respiration, le corps s’offre au vent, à la pierre, au ciel.
Il n’y a ni pose ni provocation : seulement une quête d’équilibre.
La nudité devient ici un murmure — l’expression simple d’une présence pure, d’un être en accord avec le monde.

Les murs ocres retiennent la douceur des gestes, la lumière vénitienne glisse sur la peau comme un souvenir ancien.
Tout est silence, tout est résonance.
Entre l’eau et l’air, entre l’intime et l’universel, San Servolo est un hymne au corps retrouvé — corps temple, corps paysage, corps mémoire.

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ENTRE PEAU & PIERRE

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